Ezios Auditore Da Fiorenze, dict. l'aigle

Ezios Auditore da Fiorenze, née à florence. Étonnant ? pas en même temps fiorenze traduit en français veut dire florence ! (...)

Passons, sur un cheval noir, un homme vêtu de blanc

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arriva devant le pont levis, et murmura quelques mots en italien.

Mi sembra di vedere uno dei castelli di Fiorenze ... (J'ai l’impression de voir un des châteaux de florence... )

Il parla ensuite plus fort pour appelé quelqu'un qui puisse le guidé jusqu'à son cousin, le dénommé Altaiir...

Je suis Ezios Auditore Da Fiorenze, cousin d'Altaiir. Maitre cette maison ! J'ordonne qu'on me guide jusque lui !

Pas très futé comme approche, mais au moins il était clair... Restant sur son cheval, à l'affut de quelqu'un qui viendrait à sa rencontre...

Messages : 4 Date d'inscription : 18/12/2011 Localisation : Sur les routes.

Décidement il ne pouvait pas s'empêcher de vouloir faire l'homme. Un coup de talon et voilà qu'il avait lancé sa monture au trot en approchant de la demeure où ils avaient rendez vous afin de pouvoir être le premier à claironner leur arrivé. Ahlala.. Les hommes, décidement ils l'exaspéraient continuellement et en plus lorsque c'était son frère, Ezios qui se la jouait mâle dominant du haut de ses quelques années. Dans ce cas là, comment résister à l'envie de se moquer de lui et de lui rappeler sa condition de "petit" frère.
Trottinant donc quelques mètres en arrière sur son bel étalon aubère, la Rouquine débarqua à la suite du grand dadet et d'un claquement de langue fit stoper sa monture à côté de celle d'Ezios. Ezios qui beuglait déjà haut et fort son droit d'entrée. Il était partit pour se prendre pour le Roy de France celui là. Heureusement qu'elle était là.. Levant donc la main avec toute la grâce dont elle était capable, elle lui déposa une belle tape à l'arrière du crane, avant de lui dire, le regard affreusement moqueur.

Raah.. Mais tu vas arrêter de hurler à tout va ? Tu m'as déjà cassé les pieds tout le long de la route, tu vas pas maintenant me casser les oreilles. Je vais finir par me demander si on a vraiment était elevé de la même manière.. De la politesse mon petit, de la douceur ? Capiche ? Alors fermes ton bec et laisses moi faire car si tu continues à hurler comme ça on est pas près d'entrer.

Délicatesse.. Délicate.. Fallait pas trop lui en demander à la jolie Rouquine.. Elle était délicate avec les autres - et encore ça restait à prouver, elle avait plus tendance à virer sauvage.. Secouant donc son épaisse chevelure soyeuse qui dégoulina sur ses épaules, elle claqua à nouveau de la langue pour faire avancer sa monture de quelques pas, avant de dire d'une voix flûtée et malicieuse, le regard curieuse et inquisiteur.

Y a t'il quelqu'un pour accueillir une pauvre jeune femme en détresse répondant au nom d'Azilis obligée de supporter la compagnie de l'être qui l'accompagne ? C'est mon frère mais bon. Lui c'est pas grave si il reste sur le pas de la porte.

Battement de cil, bouche en coeur, regard de biche et sourire charmeur. Décidement.. Qu'est ce qu'elle adorait jouer à la jeune fille en fleur comme première approche. Et le pire c'est qu'ils tombaient tous dans le panneau. En même temps.. Son apparence jouait en sa faveur mais Dieu sait combien l'intérieur n'était en rien semblable à l'extérieur..
En tout cas pour l'extérieur.. Elle avait enfilé une robe qui n'avait absolument pas à rougir du corps qu'elle sublimait.

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Ezios Auditore Da Fiorenze, dict. l'aigle Theshadowofawolfbywyldr

journée banale, ennui mortel au rendez vous avec des hommes complètement endormis. Faut dire que l'occupation ces derniers temps ne se trouvait pas, hormis bien sur les demandes de la Dame pour un coup de main niveau jardinerie ou importation de meubles. Le sinistre Cerbère de son Maître prenait du bon temps sur un tas de foin en haut des remparts, main coriace enserrant le cou d'un pauvre Ussé encore bouché. La pointe de son couteau vient accorder une valse au bouchon à sauver, tournoyant tournoyant si bien que ce dernier se retrouve empaler et saute hors du verre.

Le regard louche, le liquide s'affole et se verse en torrent dans la gorge épaisse...

Je suis Ezios Auditore Da Fiorenze, cousin d'Altaiir. Maitre cette maison ! J'ordonne qu'on me guide jusque lui !

Le nectar rouge fuit des lèvres sombres pour partir en cascade derrière la muraille, tombant sur le chef du gueulard.

Bordel... Qui c'est cet oiseau qui me casse les ***

Se penchant au dessus du gouffre, il maudit le crieur de son regard corbeau, noir comme l'ébène.

Et moi je suis la Reyne de France... Regardez mon séant qui se tortille l'est joli hein ? C'est mille écus pour en voir la peau, 2000 pour toucher.

Grand sourire moqueur, il imite la greluche sur le trône royal en se dandinant comme un paon, roulant presque sur la bouteille qui vint elle aussi faire le grand saut...

Oups... On a perdu un homme.

Un petit coup d'oeil vers la dame qui arriva derrière, il fit mine de l'ignorer... Des comme elles il en voit tous les jours, cherchant à se faire héberger dans un tel domaine, il est pas né de la dernière pluie. Se concentrant juste un poil sur elle, ses joues gonflèrent pour retenir le rire qui le tiraillait, toute couverte de vin la trogne...

Il grogna quand sa très chère soeurette d'amour lui fit un serment. Et il se mit à rire quand elle se présenta.

Tu es bien trop douce ma sœur, bien trop douce...

Un homme vint ensuite leurs causer du haut de la muraille, puis du vins lui coulant sur le chef. Hum... Il hôte donc sa capuche et s'adresse à l'homme.

Si tu continu à faire le mariole et je monte pour te foutre mon pied au cul toi !!

Un œil à sa sœur et la bouteille qui vient s'écraser à côté des sabots de son cheval, il frictionna alors le pelage cuirassé d'Hathyr pour le calmer.

Descend donc, que je te montre mon laisser passer espèce d'ivrogne !

Il lève donc sa manche qui dévoile son signe de famille comme il dit, le signe qu'il c'est fait mettre quand il est devenu assassin...

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C'est cela mon laisser passé ! Alors fait descendre le pont levis et ouvre la herse !

Messages : 4 Date d'inscription : 18/12/2011 Localisation : Sur les routes.

Douceur.. Douce.. FoutreDieu comment rester douce dans ces circonstances, il était juste affreux le bonshomme en haut. Et comme tout ses idiots de gardes, monsieur jouait au vilain pas gentil rebelle ! Ahlala.. Manque d'originalité flagrant ! L'espèce de macaque se la jouait grand chef du haut de sa muraille et.. Que.. Mais ! C'était bien du vin qui lui dégoulinait le long des joues, ruisselant le long de sa nuque pour venir se perdre dans son corsage. Ni une ni deux. Elle pique un fard, relève la tête et ouvre le bec pour hurler à l'intention de l'espèce d'animal qui siège bien en haut. Et voilà.. Adieu l'apparence, bonjour Azilis. Trop tard, perdue.

Espèce de bouseux ! Descends moi ta face en bas, c'est facile de faire le mignon malin en haut mais maintenant descends moi ta sale trogne que je te fasse ravaler le vin qui vient de me tacher mes fringues, et par les oreilles ! Avec supplément de pains et de tartes ! Je vais te faire baver et nettoyer chaque parcelle de cette saleté de robe ! Et au lieu de jouer au petit rebelle là haut vient plutôt faire joujou avec nous en bas ! J'ai dit que j'voulais rentrer, alors maintenant tu vas m'ouvrir cette.. Graouh.. De herse afin que j'vienne de botter ton arrière train que je devine affreux ! Mordiable ! Et profites en pour me ramener Altaiir !

Et s'en suit un panel d'insulte dont on vous laissera écouter quelques exemples avant d'en taire bon nombre qui pourrait faire siffler les oreilles chastes vivant en ces lieux. Que voulez vous.. Quand elle est partit, on ne l'arrête plus.

Maraud ! Ribaud ! Bâtard ! Couillon ! Boursemolle ! Paillard ! Merdaille ! Gueux ! Truandaille ! Couard ! Faquin ! Mécréant.. Etc..

Légère reprise de souffle, elle passe sa langue sur le bord de ses lèvres où perle une goutte de vin avant de murmurer dans une grande douceur, mais exagérant avec une parfaite ironie ses gestes. Elle ne va pas non plus s'agacer pour un simple dadet qui joue au grand Môsieur.

Siou plaît.

S'étirant gracieusement sur l'épaisse muraille en louchant vers le bas, le molosse froid offrit un large sourire pour dévoiler ses dents pointues, ce qui lui valait le surnom de démon. Ecoutant avec la plus grande attention les échanges de l'un, puis de l'autre, son amusement jonglait entre les deux. Enfin des personnes amusantes, la vie serait moins ennuyeuse s'ils restaient...

Pour monter messire, encore faudrait il que vous soyez autorisé à passer cette grille... Et il n'y a que moi qui l'autorise.

Petit coup d'oeil ensuite vers la ravissante rouquine, s'attardant sur le décolleté qu'il arrivait à déceler depuis son perchoir, un fin sourire diabolique prit forme sur ses traits barbares.

Dame, je serai honoré que de fourrer ma langue sur chaque parcelle de vin qui ont pu vous tâcher... Ce corset me semble divin, je ne saurai refuser de vous essuyer les rondeurs fortes généreuses.

Cependant malgré ma sympathie à votre égard, je ne puis concéder à votre requête de voir le Maître si d'une, vous ne lui présentiez pas un peu plus de respect, que vous promettez de vous tenir gentiment... Sans quoi mes autres gus devraient user un peu de leurs biceps, et enfin... Que vous ! Vous bougiez l'aimable popotin pour LE voir. Monseigneur est un homme fort occupé... Il n'a pas que cela à faire de sortir par un si mauvais temps pour votre simple plaisir.

Descendant ensuite l'escalier pour arriver devant la herse, il vint constater de plus près le fameux signe marqué sur le bras de l'homme. Hm, aucun doute c'était le bon, un ordre sec au crevard derrière qui somnolait et la herse fut relever.

Ma dame... Mon bon sire, soyez les bienvenus à Ussé, terre prestigieuse de Monseigneur Altaiir Auditore da Firenze.

Changement de facette, inclinaison des plus élégantes, le gredin s'approche de la donzelle pour prendre en cuillère sa délicate mimine et y déposer un baise-main formel, s'attardant légèrement dessus en levant ses prunelles noires vers celle ci... Sur le décolleté bien sur. Tandis que le palefrenier s'attelait à s'occuper des montures, il ouvrit la marche le long du sentier dallé.

Nous sommes assez fier de ce domaine, il a été érigé par un noble angevin, surnommé "le diable", et dont plus tard d'autres occupants ont façonné le Castel avec des goûts plus prononcés italiens. Je vous conseille de ne pas tenter une promenade nocturne dans le labyrinthe des jardins, il est facile de s'y perdre... Tout comme cette forêt avec des bestioles sauvages, des loups pour vous dire on établit leur territoire pas loin.

Attention à la marche...

C'est ainsi qu'ils regagnèrent le grand château imposant, arrivant à la porte donnant dans le grand hall...

C'est ici que je vous quitte, vous verrez c'est très facile, vous entrez et de suite sur votre droite vous arriverez au petit confort du salon, là où vous recevra le Maître, il a été prévenu.

Bon séjour...

Petit clin d'oeil vers la demoiselle, il s'éclipsa ensuite pour retourner aux murailles.

Messages : 4 Date d'inscription : 18/12/2011 Localisation : Sur les routes.

La Rouquine s'amuse un instant du ton de l'espèce de gardien encapuchonné. C'est sûr qu'il est pas près de venir balader ses mains sur elle. Si il y a bien une chose qu'elle ne supporte pas c'est qu'on lui cause comme on parlerait à une simple ribaude. Namého.. Un peu de respect ne l'aurait pas tué le toutou du Maître. C'est donc gentiment mais l'observant d'un regard malicieux qu'elle l'écoute déblatérer chacun de ses mots, esquissant un sourire en le voyant perdre ses yeux dans le reliefs de ses formes, et se renfrognant un poil en l'entendant babiller du fait qu'ils devraient user d'un peu plus de politesse. Il a pas l'impression d'abuser un peu là le Cerbère ? C'est pourquoi elle prend la parole pour dire d'une voix, redevenue doucâtre mais taquine.

M'est avis que j'ai été polie au début non ? Je suis d'une politesse sans égale et connaît les bonnes manières sur le bout de mes petits doigts lorsque l'on me fait preuve de respect. Pour ma part le vin sur ma frimousse ne fait pas partie d'une marque de respect.. Pas étonnant que je morde. Alors promis, je serai toute mignonne et gentille, enfin.. J'ai pas non plus été élevait comme une nobliaute, il ne faudra pas trop m'en demander. Mais juste ce qu'il faut Oh cher grand Monsieur en noir.

Voilà qu'il se décide enfin à leur donner l'entrée du lieu, et c'est donc un léger sourire amusée perdu sur ses lèvres qu'elle excerce une infime pression de ses bottes sur les flancs de sa monture qui fait donc son entrée dans l'enceinte du lieu de vie de leur cousin. Avant qu'elle ne se décide à venir mettre pied à terre, confiant sa monture au palefrenier. A peine est elle débarassée des reines qu'une main glacée vient se saisir de ses doigts et elle retint une légère grimace en voyant venir les lèvres de l'autre malpoli désormais devenu aimable et fleurant bon la rose, venir effleurer le dessus de sa main. Ahlala.. Sa main se portait très bien sans bave en temps normal.. Elle haïssait tout bonnement ces bonnes manières bien trop exagérés, comme son frère, qui la prenait aussi apparement pour une gamine incapable de se défendre seul vu la manière dont il cracha ses mots à l'autre encapuchonné.

Tout doux toi.. Suis encore assez grande pour savoir qui peut me toucher.

Retirant sa fine main de la palûche à l'emprise baveuse, elle le gratifia d'un léger sourire avant de s'engager à sa suite et avec Ezios vers le chemin qu'il leurs indiquait, détaillant au fil de leur marche la construction qui les entourait. Bien sûr.. Elle ne put s'empêche de commenter.

Mhm.. Oui c'est mignon comme bâtiment. Et pour ce qui est des lieux tout noirs, pas beaux et emplit de vilaines bêbêtes je ne me doute pas que si je m'y perd vous saurez aisément me retrouver en suivant mes cris de détresse.

Sourire en coin, regard angélique avant de se glisser dans l'encadrement de la porte pour écouter les derniers mots qu'il leurs adresse. Elle hoche doucement de la tête aux instructions. Lui offrant un dernier sourire malicieux et moqueur avant de se glisser avec son frère vers le lieu indiqué. Allez zou..

Il se contenta d'un regard noir, il aurait bien enlevé son arbalète de son dos et de lui décocher un carreau dans la tronche à ce c**... Il parlait mal à sa sœur, et en plus il renversait du vin sur sa tenue blanche, ainsi que celle de sa sœur.

Puis il suivit le regard de l'homme, et... Il grogna de rage, l'envie de meurtre, l'homme ose poser ses yeux sur le décolleter de sa grande sœur ! Dès qu'il serait plus prêt il lui enverrais un coup de pied dans son séant de bouseux !

Pis laissa parlé sa sœur par la suite, contenant sa rage dans son corps. Par la suite, ce foutu bouseux descendit et regarda sa marque...

Elle vous plait ? Alors on passe maintenant.

Plus loin, il posa pied à terre, suivant sa sœur, et l'homme commit une gaffe, toucher sa sœur !

Encore une parole, un regard, et un toucher sur ma sœur et je te transperce la peau !

Un grognement de haine, le sang qui boue. Ezios qui lui était assassin, il aurait pu en finir de cet homme. Mais pas ici.. Il attendrait une autre fois... Il se contenta donc de suivre sa sœur, la main sur le pommeau de son épée et avança à pas doux... Espérant que son cousin l’accueillerait avec une bonne bouteille de vin, ou de son fameux Rhum !

Messages : 13 Date d'inscription : 07/12/2011

Ezio entendit un bruit provenant de la grille du Domaine, il se dirigea vers ce lieu après être sortit de sa chambre.

Quelle est la cause de tout ce bruit incessant ? Qui ose hurler à tout va pour qu'on le repère ?

Ezio s'approcha des portes puis haussa un sourcil.

Pouvez-vous m'expliquer la venue de cet homme qui semble se faire passer pour une copie similaire à la mienne ?

Depuis quand faisons-nous entrer des étrangers au sein de notre Domaine sans la moindre informations ? Surtout pour des inconnus qui prétendent appartenir à la famille des Auditore da Firenze !

Messages : 2 Date d'inscription : 29/06/2011

En retard...
Bien des tragédies commencent ainsi ! Mais pour le coup la rousse de la famille ne pouvait faire autrement. Ses chevaux étaient chez le maréchal ferrant et les enfants avaient fait des leurs une fois de plus. Heureusement qu'en ces temps elle n'avait de charges compromettant ses plans. Aussi après avoir lutté pour habiller la fratrie, laissé les aînés au bon soin de leur bien aimée nourrice, Lys prit la route de la villa familiale.
C'était avec une petite qui marchaient encore maladroitement dans les bras que la jeune femme tentait de rattraper son retard. Elle avait pourtant été prévenue à l'avance par son grand frère de sa venue prochaine mais rien y fait...Les aléas de la vie. Heureusement que la neige n'était point de la partie.

Arrivée, ou presque, elle pu apercevoir la sombre silhouette d'Ezio, reconnaissable entre mille bien que caractéristique des Auditore masculins.

Attendez moi !

Et de voir deux hommes au physique presque sensable. La jeune femme plissa les yeux. Pendant qu'elle tentait de distinguer le vrai du faux, ou plutôt le frère du cousin, Aalys laissa Ailina gambader sur le perron. Un lissage de robe ni vue ni connu d'un mouvement de main, expérience oblige, histoire d'avoir un minimum de tenue avant de porter ses yeux d'émeraudes sur son frère, plus âgé que l'autre Ezio.

Ezio ? Qu'est-ce cette histoire ? Où est Alta et Camille ?

Que d'animation en ce retour, ce qui pouvait l'étonner pour un endroit qui avait pourtant été si tranquille à son goût. Voilà qu'en plus que la famille avait une autre rousse, elle qui avait cru jusqu'alors être la seule à ne pas avoir hérité de la couleur brune si commune.

Messages : 13 Date d'inscription : 07/12/2011

Ezio vit arriver sa soeur, Aalys, il alla à son encontre.

Soeur ! Merci de ta venue aux portes du Domaine, j'aimerais que les choses soient bien claires, précises.

Je ne sais où se trouvent Alta et Camille d'Anclair, ce que je sais c'est qu'il y a un homme qui me semble louche !

Dîtes-moi, notre famille récéptionne combien d'inconnus de ce genre ? Ici ce n'est pas un moulin, on ne sous-entend pas appartenir à notre famille sans raison valable !

Messages : 2 Date d'inscription : 29/06/2011

Le voilà à ses côtés et plutôt que de se soucier du temps de leur séparation voilà qu'il faisait du remue-ménage de part son côté impulsif. La rousse ne put s'empêcher d'esquisser un sourire à l'idée que ces retrouvailles n'allaient pas se passer dans le calme, avant de poser un doux baiser sur sa joue. Une main légère vint se poser sur ses épaules qui d'ailleurs de belle stature. A ses cotés sa soeur pouvait paraître presque frêle. Une taille gracile , une poitrine bien dessinée, en somme un corps qui faisait le bonheur de son roux. Elle pouvait avoir des rois comme il lui disait si bien et elle n'en avait été guère loin.

Calme toi. Laissons notre cher cousin nous expliquer de quoi il en retourne. Je doute qu'ils soient des imposteurs si le Cerbere les a laissés encore vivant.

De nouveau son regard se porta sur les deux nouveaux arrivants, le sourire ne quittant cependant pas ses lèvres.

Pardonnez notre surprise. Comprenez qu'un autre Ezio, si soudainement, peut être dirons-nous...déroutant.

Ses années dans la diplomatie bretonne puis royale ainsi que la politique faisait d'elle quelqu'un de plus modéré que son bien aimé frère, habitué à un tout autre genre de pratiques. Alors qu'elle terminait sur ses mots, intriguée dans le fond par toute cette histoire, elle rattrapa sa petite fille qui ne manquait pas de lui faire faux bond pour aller aux jardins et alla frapper à la grande porte de bois, espérant alerter tant bien que possible son cousin. Sa venue serait plus que bienvenue en cet instant.

Messages : 13 Date d'inscription : 07/12/2011

Ezio vit approcher la belle Aalys à ses côtés, en lui déposant un doux baiser sur sa joue.

Je n'arrive pas à me calmer, cet homme est du moins inintéréssant, de part son nom inventé de toute pièce qui ose pointer son nez chez nous, au sein de notre Domaine ! Il dit être chez lui, ce dont je conteste entièrement. Connaissait-il un membre des Auditore auparavant qui pourrait prouver sa venue ?

Ezio passa ses bras autour de la taille d'Aalys, puis attendit.

[hrp: Je ne répondrais pas à ce rp, puisque celui-ci est terminer. Merci de votre compréhension.]